Amstrad Cent pour Cent 1 février 1988 > 70%
« MASTERS OF THE UNIVERSE, le logiciel est arrivé ! Délaissez vos figurines, laissez tomber les petits et grands écrans et tous vos joysticks. Gremlin vous permet de vous glisser dans la peau de Musclor le blond héros musculeux. A travers cinq tableaux différents, le programme retrace le scénario du film sorti récemment. Le jeu s’organise autour d’un parcours de type labyrinthe (les programmeurs de Gauntlet ont laissé leur empreinte) dans les rues d’une petite ville américaine encombrée par les troupes de Skeletor. Aidé par une carte (en anglais), fournie avec la notice (en français), et une boussole, vous devez vous rendre en certains points stratégiques où vous attendent des épreuves telles le combat à main nue, le tir au laser (type Prohibition), le combat sur disque volant (Space Invaders), toutes menées en temps limité. L’ensemble des phases de ce jeu est réalisé de façon plus qu’honnête, avec un graphisme soigné et joliment coloré. L’écran de jeu est clair avec : deux épées indiquant votre énergie et celle de vos adversaires, un chronomètre pour le compte à rebours et un compteur d’Accords obtenus. Le mélange diverses phases d’action et d’un minimum de stratégie est réussi rendant le jeu tonique et stimulant.
Le seul (tout) petit reproche à faire : une relative facilité d’emploi qui ne tiendra pas en échec très longtemps les spécialistes du joystick. »
Amstar 24 août/septembre 1988 > 9/20
« A part le fait que le jeu est tiré d’un scénario de film, vous ne trouverez pas beaucoup d’intérêt à ce logiciel ; les sprites sont petits et la question des déplacements est assez tordue… Bref, c’est plutôt décevant. »
Tilt 52 mars 1988 > 9/20
« La version CPC de Master of the Univers met en place un graphisme moins réaliste mais plus ludique que celui de son homologue sur Amstrad CPC. Le bruitage souffre en revanche, en sens inverse de la comparaison… Enfin l’animation de ce programme est trop lente pour motiver le joueur à long terme. »
Micro News 8 mars 1988 (version MSX)
« Ne vous attendez pas à un chef-d’œuvre, mais à un bon logiciel d’action, original et vivant. »